Les légumes sous l'eau
La forte pluviométrie et en péril les cultures légumières. FDSEA t Jeunes Agriculteurs e mobilisent pour qu'une procédure calamités soit mise en place.
Suite 'agrave; la demande de la FDSEA et des JA, la DDAF, repr'eacute;sent'eacute;e par Pierre Bessin, s'rsquo;est rendue le vendredi 20 juillet sur le terrain pour visualiser les d'eacute;g'acirc;ts caus'eacute;s par les intemp'eacute;ries sur les cultures dans la zone l'eacute;gumi'egrave;re d'rsquo;Ille-et-Vilaine.
Dans un premier temps, la d'eacute;l'eacute;gation a rencontr'eacute; des l'eacute;gumiers de GPLM et d'rsquo;Agrial dans les polders puis elle s'rsquo;est dirig'eacute;e en fin d'rsquo;apr'egrave;s-midi vers Saint-M'eacute;loir des Ondes pour entendre le t'eacute;moignage des l'eacute;gumiers de Terres de Saint-Malo.
La pluviom'eacute;trie inhabituellement importante (300 mm pour ces trois derniers mois contre 150 mm de moyenne) a eu des cons'eacute;quences importantes sur les r'eacute;coltes.
Les deux sites visit'eacute;s pr'eacute;sentent des situations assez diff'eacute;rentes mais tout de m'ecirc;me inqui'eacute;tantes. A Saint-M'eacute;loir, les intemp'eacute;ries des derniers mois commencent 'agrave; causer de s'eacute;rieux probl'egrave;mes sanitaires sur diff'eacute;rentes cultures'nbsp;: choux, c'eacute;leri, pomme de terre'hellip; L'rsquo;avenir des productions et des r'eacute;colte reste encore tr'egrave;s d'eacute;pendant du temps 'agrave; venir. La plus grosse crainte des malouins porte sur les choux. Cette culture est tr'egrave;s sensible 'agrave; la hernie des crucif'egrave;res plus connue sous le nom 'quot;bosse'quot;. Celle-ci peut se d'eacute;velopper jusqu'rsquo;'agrave; fin septembre.
Dans les polders, la situation est d'rsquo;ores et d'eacute;j'agrave; catastrophique. De nombreuses productions sont touch'eacute;es. Sur certaines parcelles de pomme de terre ravag'eacute;es par le mildiou ou de ma'iuml;s noy'eacute; par la pluie excessive, le rendement sera totalement nul. Les carottes sont 'eacute;galement concern'eacute;es puisque les racines 'eacute;clatent ou n'rsquo;atteignent pas des gabarits corrects ce qui rend la r'eacute;colte non-commercialisable.
Ces conditions ont des r'eacute;percussions imm'eacute;diates 'eacute;videntes mais auront aussi des cons'eacute;quences sur le futur proche. D'rsquo;apr'egrave;s Xavier Seuret, responsable l'eacute;gumes JA, 'quot;la situation est compliqu'eacute;e d'rsquo;autant plus qu'rsquo;elle pose des probl'egrave;mes dans le planning des plantations. Dans ces conditions, les productions 'agrave; venir ne seront pas aussi r'eacute;guli'egrave;res que pr'eacute;vu ce qui aura des r'eacute;percussions sur les prix de vente des produits'quot;.
Cette'nbsp; visite de terrain permettra de sensibiliser l'rsquo;administration 'agrave; cette situation difficile pour les l'eacute;gumiers de plein champ et peut 'ecirc;tre de fonder les bases d'rsquo;une proc'eacute;dure de calamit'eacute; agricole.
Dans un premier temps, la d'eacute;l'eacute;gation a rencontr'eacute; des l'eacute;gumiers de GPLM et d'rsquo;Agrial dans les polders puis elle s'rsquo;est dirig'eacute;e en fin d'rsquo;apr'egrave;s-midi vers Saint-M'eacute;loir des Ondes pour entendre le t'eacute;moignage des l'eacute;gumiers de Terres de Saint-Malo.
La pluviom'eacute;trie inhabituellement importante (300 mm pour ces trois derniers mois contre 150 mm de moyenne) a eu des cons'eacute;quences importantes sur les r'eacute;coltes.
Les deux sites visit'eacute;s pr'eacute;sentent des situations assez diff'eacute;rentes mais tout de m'ecirc;me inqui'eacute;tantes. A Saint-M'eacute;loir, les intemp'eacute;ries des derniers mois commencent 'agrave; causer de s'eacute;rieux probl'egrave;mes sanitaires sur diff'eacute;rentes cultures'nbsp;: choux, c'eacute;leri, pomme de terre'hellip; L'rsquo;avenir des productions et des r'eacute;colte reste encore tr'egrave;s d'eacute;pendant du temps 'agrave; venir. La plus grosse crainte des malouins porte sur les choux. Cette culture est tr'egrave;s sensible 'agrave; la hernie des crucif'egrave;res plus connue sous le nom 'quot;bosse'quot;. Celle-ci peut se d'eacute;velopper jusqu'rsquo;'agrave; fin septembre.
Dans les polders, la situation est d'rsquo;ores et d'eacute;j'agrave; catastrophique. De nombreuses productions sont touch'eacute;es. Sur certaines parcelles de pomme de terre ravag'eacute;es par le mildiou ou de ma'iuml;s noy'eacute; par la pluie excessive, le rendement sera totalement nul. Les carottes sont 'eacute;galement concern'eacute;es puisque les racines 'eacute;clatent ou n'rsquo;atteignent pas des gabarits corrects ce qui rend la r'eacute;colte non-commercialisable.
Ces conditions ont des r'eacute;percussions imm'eacute;diates 'eacute;videntes mais auront aussi des cons'eacute;quences sur le futur proche. D'rsquo;apr'egrave;s Xavier Seuret, responsable l'eacute;gumes JA, 'quot;la situation est compliqu'eacute;e d'rsquo;autant plus qu'rsquo;elle pose des probl'egrave;mes dans le planning des plantations. Dans ces conditions, les productions 'agrave; venir ne seront pas aussi r'eacute;guli'egrave;res que pr'eacute;vu ce qui aura des r'eacute;percussions sur les prix de vente des produits'quot;.
Cette'nbsp; visite de terrain permettra de sensibiliser l'rsquo;administration 'agrave; cette situation difficile pour les l'eacute;gumiers de plein champ et peut 'ecirc;tre de fonder les bases d'rsquo;une proc'eacute;dure de calamit'eacute; agricole.